22. Paris FC - USL Dunkerque

Nous voilà une nouvelle fois partis sur les routes de France et de Navarre. Pour cette nouvelle étape, c'est Paris. Et c'est un J9 qui s'élancera de la cité de Jean Bart en direction de la capitale. Histoire d'attendre les plus courageux qui bossent, nous partons uniquement aux alentours de 15h.

L'aller est classique, entre discussions diverses, houblon et autres jeux à la con. 
Comme prévu, on sera très short niveau timing, même si on limite le plus possible les arrêts. Les bouchons sur le périph', et surtout les difficultés à trouver le parking du parcage, nous font tourner pas mal de temps. 
Une fois garés, il nous reste à trouver la bonne entrée du stade. Le 1er choix ne sera pas le bon, et on devra donc faire tout le tour pour aller jusqu'à notre tribune. 
On voit sur les téléphones qu'on perd 1-0, puis on entend le public se régaler d'un nouveau but francilien. Nous rentrerons donc dans le stade à 2-0, après un gros quart d'heure de jeu. Fouille relativement poussée. 

Le temps de bâcher, c'est (enfin) parti. Nous ne lâcherons rien pendant les 70 minutes qu'il nous reste. Certains chants résonnent. Il faut dire que dans ce stade plutôt vide, qui plus est couvert, on a tout ce qu'il faut pour se faire entendre, surtout qu'on est bien motivés pour aider notre équipe à revenir dans le match. 

Bon kiffe sur le 2-1, insuffisant. On en restera là. Avec ces 15 minutes loupées et ce 2-0, l'équipe semble bien dégoutée. Il faut dire qu'avec la seconde période livrée, il y avait moyen de prendre des points chez le leader. Dommage ! 
Surtout dommage qu'un seul joueur se bouge jusqu'au parcage. Du coup, après le match, on décide d'attendre la sortie des joueurs pour discuter peinard avec eux. 

On y gagnera un apéro et des pizzas 

La suite, c'est la galère d'une recherche d'un KFC (nan mais sérieux les gaillards ici  ) et reprise de la route, en mode tout le monde s'endort comme des grosses merdes. 
Retour Dunkerque dans les 2h, si mes souvenirs sont bons. 

En attendant le prochain, on est loin du grand chelem, mais on s'marre.