Duchère - Dunkerque
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Duchère - Dunkerque
Au départ de notre cité, ce sont quatre Dunkerquois (3UD, 1DK12) qui prennent la route pour Lyon vendredi matin peu après 6h. Petite déception autour de ce chiffre qui aurait dû être plus élevé. Si seulement ces putains de match étaient au samedi...
Le trajet sera calme, rythmé par diverses discussions, notamment des souvenirs d'anciens déps. Nous arrivons à Lyon vers 13h30 et entamons une après-midi de touristes. Parc OL, Gerland, centre-ville, vieux-Lyon... Forcément, une telle ville, ça te change des déplacements à Épinal ou à Chambly...
Vers 18h, on se met en route vers la Duchère, quartier où se déroule le match.
Le temps d'une petite bière, d'anciens Gravelinois viennent à notre rencontre. Pendant la rencontre, plusieurs Dunkerquois expatriés viendront ainsi parler avec nous de nos groupes, de nos déplacements, de l'équipe, d'une hypothétique montée... Aux guichets, on récupère nos places. La sécurité s'attend à voir débouler d'autres Dunkerquois et est en stress. "Mettez vous au bout, en bas à droite, on veut pas de problèmes". C'est vrai qu'avec les expatriés, on est quand même montés à un nombre incroyablement élevé de....10!
Sur le terrain, les joueurs prennent le taureau par les cornes mais sont récompensés par une ouverture du score lyonnaise. Si un nul était plus équitable, on rentre aux vestiaires à 1-0 pour nos hôtes.
L'égalisation des nôtres entraînera une révolte des locaux. Score final : 4-1.
La pilule est dure à avaler. Nos joueurs n'ont pas été catastrophiques mais ils repartent avec une bonne branlée des familles. En tribune, tout le monde est KO. Certains joueurs le sont aussi...
Boucaud et Bouet sont les seuls à venir nous saluer. On réclame que les autres viennent aussi.
Ce serait la moindre des choses alors que nous affirmons (parfois seuls au monde) notre soutien à cette équipe depuis plusieurs semaines, alors qu'elle est en train de tout gâcher au classement.
D'autres joueurs viendront après la douche derrière la tribune voir les quelques Dunkerquois venus leur parler pendant que d'autres ont préféré s'isoler.
Face à un mental fragile, il reste maintenant trois matchs pour continuer de rêver à une éventuelle montée. Ca commence contre les Herbiers vendredi...
Sur le chemin du retour, l'esprit n'est pas vraiment à la fête. Ça ronfle sec assez rapidement.
Retour à Dunkerque vers 6h.
Le trajet sera calme, rythmé par diverses discussions, notamment des souvenirs d'anciens déps. Nous arrivons à Lyon vers 13h30 et entamons une après-midi de touristes. Parc OL, Gerland, centre-ville, vieux-Lyon... Forcément, une telle ville, ça te change des déplacements à Épinal ou à Chambly...
Vers 18h, on se met en route vers la Duchère, quartier où se déroule le match.
Le temps d'une petite bière, d'anciens Gravelinois viennent à notre rencontre. Pendant la rencontre, plusieurs Dunkerquois expatriés viendront ainsi parler avec nous de nos groupes, de nos déplacements, de l'équipe, d'une hypothétique montée... Aux guichets, on récupère nos places. La sécurité s'attend à voir débouler d'autres Dunkerquois et est en stress. "Mettez vous au bout, en bas à droite, on veut pas de problèmes". C'est vrai qu'avec les expatriés, on est quand même montés à un nombre incroyablement élevé de....10!
Sur le terrain, les joueurs prennent le taureau par les cornes mais sont récompensés par une ouverture du score lyonnaise. Si un nul était plus équitable, on rentre aux vestiaires à 1-0 pour nos hôtes.
L'égalisation des nôtres entraînera une révolte des locaux. Score final : 4-1.
La pilule est dure à avaler. Nos joueurs n'ont pas été catastrophiques mais ils repartent avec une bonne branlée des familles. En tribune, tout le monde est KO. Certains joueurs le sont aussi...
Boucaud et Bouet sont les seuls à venir nous saluer. On réclame que les autres viennent aussi.
Ce serait la moindre des choses alors que nous affirmons (parfois seuls au monde) notre soutien à cette équipe depuis plusieurs semaines, alors qu'elle est en train de tout gâcher au classement.
D'autres joueurs viendront après la douche derrière la tribune voir les quelques Dunkerquois venus leur parler pendant que d'autres ont préféré s'isoler.
Face à un mental fragile, il reste maintenant trois matchs pour continuer de rêver à une éventuelle montée. Ca commence contre les Herbiers vendredi...
Sur le chemin du retour, l'esprit n'est pas vraiment à la fête. Ça ronfle sec assez rapidement.
Retour à Dunkerque vers 6h.
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